Femme B.C.B.G, Escorte, Non, Pute… (16)

J’arrive au pavillon où j’entre avec dans mes mains le cadeau.
Quelqu’un chante dans la buanderie, Aline est là et elle est en train de sortir la lessive de la machine.
J’évite de la déranger, car avec mon bouchon, je sais ou je commence mais jamais ou je m’arrête.
J’avance vers la chambre de Virginie.
Elle est debout dos à moi et parle avec le téléphone de l’organisation que je reconnais, car le sien est rose.

Je pense qu’elle reçoit une proposition de contrat.
Je me permets d’écouter où nos aventures vont nous emmener. La conversation que je surprends m’interroge. Virginie parle avec un interlocuteur et ces questions sont très précises.

• Combien avons-nous signé de contrat cette semaine ?

Elle écoute.

• Avez-vous bien payé le déplacement de Sylvie en Grèce ?
Bien c’est parfait.
Avez-vous un prochain contrat pour Magali et Séverine ?

Elle écoute la réponse.

• Passez-les en priorité !
Dès que vous avez un contrat pour deux filles, vous appelez Magali pour qu’elles réservent leur soirée !

Un blanc écoute puis dit.

• Elle a donc encore une fois transgressé les règles malgré l’entrevue que j’ai eues avec elle apprêt ses différentes incartades.

Elle ajoute.

• Payez-lui ses arriérés avec une prime de cinq mille euros et virée là ?

En disant ces derniers mots, elle se retourne. Je n’ai pas le temps de me retirer et m’aperçois.

• Entre, j’en ai pour une minute !
• Non, je parle à une amie.

Son correspondant doit avoir eu à comprendre que la minute était à moi.

• Je vous appelle aussi pour vous signaler que Magali, Séverine et moi fermons l’institut de beauté dans une semaine et partons pour un mois de vacances en Charente Maritimes. Vous pouvez me joindre sur le portable à tout moment.
De plus, si vous avez des contrats dans la région, appelez-moi.

Nous pourrions les honorer et ainsi joindre l’utile à l’agréable.

Elle raccroche.

• Tu es là depuis longtemps.
• Oui, j’ai entendu sans le vouloir une bonne partie de ta conversation.
• Viens dans mes bras que je t’explique.

Je lui tends le cadeau, elle l’ouvre et est enchantée de mon geste.

• Pas de bisous, je suis encore contagieuse, mais le cœur y est.
Viens près de moi que nous causions.
Je t’ai raconté, comment je me suis fait déflorer par le père d’une copine.
Comment, nous avons eu des après-midi torrides ?
Comment lorsque sa femme s’absentait, il me baisait de plus en plus souvent et qu’elle nous a surpris, ce qui a mi-fin à notre relation et à sa vie de couple ?
Après cette initiation, je suis devenue une jeune fille insouciante pendant les mois qui me séparaient de mes dix-huit ans. Je suis passé de bras en bras et ainsi acquis une très grande expérience dans les jeux du sexe.
Le jour de mon anniversaire, j’ai pris mes affaires et prévenu mes parents et mon indépendance, mais qu’ils auraient toujours de mes nouvelles.
Lorsque je me suis retrouvé dans la rue, je suis allé dans le petit hôtel que j’avais repéré et où j’ai pris une chambre. La dame à l’accueil, m’a demandé ma carte d’identité, elle a constaté que j’étais majeur et m’a donné ma clef. J’ai posé mes affaires et me suis habillé avec des effets provoquant que j’avais acheté quelques jours auparavant.
J’ai pris le papier sur lequel j’avais noté une adresse, une heure et le numéro de chambre.
Cette adresse, je l’avais obtenue en passant une petite annonce dans le journal de ma ville. « Plus de dix-huit ans, jeune fille cherche bon plan. » Suivi d’un numéro de téléphone à appeler.
J’avais acheté un portable sans contrat avec carte de paiement renouvelable.

• Tu cherchais des clients.
• Oui, dans les heures suivant mon annonce, j’ai reçu des dizaines d’appels.
J’ai accepté les rendez-vous de tous ceux qui m’ont appelé, j’ai même eu un appel d’une femme que j’ai rencontrée.
Ce fut m’a première expérience lesbienne.
Je me suis rendu à la première adresse ou j’avais accepté un rendez-vous. J’ai bien pris soin de bien avoir mes dix-huit ans révolus. Lorsque la porte de la chambre ç’ait ouvert, un monsieur d’un certain âge, ou plutôt d’un âge certain m’a dit d’entrer.
J’ai reconnu cet homme, je l’avais vu parler à la télé. C’était un homme très influent dans le monde entier.
Il m’a demandé de me déshabiller et de me mettre en position de levrette sur le lit.
Je lui ai demandé la somme que nous avions négociée. Il m’a payé en francs à cette époque.
J’ai voulu le sucer, il a refusé. Il voulait me pénétrer le plus vite possible.
Je me suis mis en position. Il est arrivé derrière moi et une fraction de seconde, j’ai vu son sexe à nu. Il a refusé la capote en prétextant qu’a son âge, il n’avait pas besoin de se protéger.

• C’était un salaud.
• Tu comprends pourquoi je suis intransigeante sur ce point.
Il m’a proposé un paquet d’argent pour me laisser faire sans.
J’ai tenu bon et ai continué de résister.
Il a invoqué son manque de capote !
J’avais tout prévu, j’ai ouvert mon sac et lui en ai donné une.
• Dès le début tu as su prévoir les choses.
• Bien sûr, pendant les quelques années où j’ai baisé jusqu'à ma majorité, j’ai toujours eu des préservatifs dans mon sac et je me suis toujours protégée.
Lorsqu’il a été capuchonné, je me suis mis en position, il m’a enfilé. Il m’a pénétré et presque immédiatement a déchargé.
• Mince, c’est la première fois que cela m’arrive. Habille-toi, je t‘emmène dîner.
• Nous sommes descendues et nous sommes allés manger dans un restaurant à deux pas de l’hôtel. Ce restaurant avait une lumière tamisée et des tables bien isolées les unes des autres. Nous sommes retournées dans sa chambre et il m’a baisé deux fois dont une sodomie.
Ul m’avait tellement stressé avec son histoire de capote que mon corps a oubliée de jouir de toute la soirée.
Alors que je sortais de l’hôtel, un homme et une femme m’ont demandé mes papiers.
Ils m’ont montré une carte de police. Sans faire de difficulté, je leur ai montré ma carte.
La femme la regarde.
• Eh bien, toi tu es unique, tu auras calculé à l’heure prêt pour faire la pute, juste le jour de tes dix-huit ans. Tu peux t’en aller. Mais fais attention, tu vas te retrouver dans des situations qui risquent d’être dangereuses et de t’échapper pour une jeune fille.
• La police était là pour toi.
• Je pense que la réception a prévenu la police lorsque je suis arrivé ou lorsque nous sommes allées au restaurant avec le client.
• Ils étaient des indiques.
• Non, si j’avais été mineur, ils risquaient la fermeture.
Entré à l’hôtel, je jette sur le lit les billets si facilement gagnés.
Je suis allée voir les clients les uns après les autres.
J’ai gagné un maximum d’argent et coup de chance pour moi, jamais rien de dangereux.
J’ai pris un appartement et me suis installé. Un soir dans un bar où nous étions allées boire un verre, déjà sans alcool, j’ai rencontré une jeune femme qui discrètement m’a donné une carte. Je l’ai regardé le lendemain.
Un prénom, « Sandra ». Avec une adresse Internet.
Je suis allé dans un des premiers cybercafés ouverts sur Paris.
Je me suis connecté et j’ai découvert un site avec un numéro de téléphone à appeler.
Je suis allé dans un grand magasin et j’ai acquis un ordinateur. J’ai galéré pour le mettre en service et arriver comprendre comment ça fonctionnait.
En interrogeant certains sites, j’ai trouvé une adresse d’une personne qui créait des sites personnalisés.
Je l’ai appelé, il m’a retrouvé dans un café près de chez moi. Il fallait qu’il vienne sur mon ordinateur pour faire le travail.
Nous avons passé quelques semaines ensemble.

Un coup de création du site, un coup de bite, un coup de développement, une petite sodomie.
Mon site était créé m’a donné du plaisir, car en plus d’être un bon informaticien, c’était un bon amant, ça a été du donnant baisant.
Mais ça fonctionnait. Les clients étaient de plus en plus nombreux.
Je me suis déplacé dans le monde entier.
C’est dans ces années-là que j’ai fait la connaissance d’Igor.
Rapidement, j’ai pris conscience de l’apport d’Internet.
Igor m’a proposé de si mon site à l’étranger que les clients pourraient appeler jour et nuit. Ce site est installé dans un pays où nous ne risquons aucune poursuite.
Nous avons mis en place les réceptionnistes des appels et géré les filles que je me sentais fort de recruter.
C’est comme cela que j’ai créé « l’organisation ».
La plus difficile a été de recruter un responsable financier.
Une fois de plus j’ai eu la chance de rencontrer lors d’une de mes soirées, un expert-comptable tellement passionné par ce qu’il faisait dans son métier, que, lorsqu’il sentait le besoin de baiser, il appelait une escorte girl.
Je l’ai rencontré plusieurs fois.
J’assouvissais ses besoins sexuels et lors des moments de récupération, j’ai rapidement compris tout ce qu’il pouvait apporter à l’organisation.
Je lui ai proposé un contrat qu’il a accepté.
Depuis, la finance est bien calée.
Je vais le voir de temps en temps pour une soirée entre amis, nous en profitons pas pour nous payer une petite baise en toute amitié.
Gratuite pour lui tu le comprends bien.
Je me suis mis à la recherche de filles ayant mon profil assez libre du cul. Tu en as fait partie et je suis satisfaite de ton recrutement. Tu es l’une des plus belles salopes que j’ai réussies à faire venir travailler avec moi.
J’ai eu de la chance, avec toi, ton inexpérience du sexe à cause de ton ex étant un mauvais baiseur, j’ai très vite constaté que tu étais une terre vierge qui demandait à produire le beau fruit que tu es devenu.
Mes clients se sont donné la référence du site et depuis l’organisation roulent sans problème majeur.
J’ai tenu à être une actrice dans ma propre organisation. Non seulement cela me permet de contrôler tous comme tu viens de le voir.
Il y a quelques instants, tu t’en es rendu compte après les ordres donnés, mais aussi de continuer à profiter des plans culs dont j’aurais du mal à me passer.
Cette organisation m’a rapporté tellement de devise que j’ai vite comprise qu’il fallait que j’investisse, surtout pour garantir mes vieux jours.
C’est là que j’ai eu l’idée d’ouvrir l’institut que l’on va agrandir ensemble.
J’ai aussi pour idée de confier cette première boutique à Odile et en créer un autre du côté du boulevard Saint-germain.
Bref, nous verrons cela avec mon notaire après les vacances.
Tu vois mon cœur, il est bien que tu m’aies entendu tout à l’heure, je cherchais, comment t’expliquer qui dirigeais l’organisation or je tenais à le faire.
Lorsque j’aurai fini de m’amuser à tous gérer, tu seras ma digne remplaçante !
Je te demande de taire ce secret qui doit rester strictement entre nous.
• Tu peux être rassurée, je serais une tombe.

Le temps de ces confidences, l’heure a filler et moi aussi il faut que je file.

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